Wednesday, 31 October 2018

Gamer pendant 24h au profit des enfants malades

Radio-Vérité: un roman inspiré des radio-poubelles

Prudence en cette journée d'Halloween!

Google Discover : quel impact sur le SEO ?

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Avec l‘avènement des réseaux sociaux et la progression de la recherche vocale, Discover permettra de refléter encore plus précisément l’objectif du moteur de recherche, c’est-à-dire aider les utilisateurs à découvrir du contenu nouveau et pertinent et ce, avant même qu’il n’y ait eu de recherche ! Voici un petit tour d‘horizon de ce qu‘offre Google Discover.


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Cauchemar SEO : quiz spécial Halloween

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Jouez à notre quiz sympa et découvrez si oui ou non vous êtes prêts pour tous les défis SEO que vous pourrez rencontrer la veille d’Halloween et tout au long de l’année !


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Halloween et les médias sociaux: comment vous démarquer?

Halloween et les médias sociaux: une belle opportunité marketing pour votre entreprise mais également une occasion de laisser place à une créativité un peu plus débordante que d’habitude. Certaines marques sont allées très loin dans la stratégie marketing Halloween et d’autres n’ont jamais vraiment sauté le pas.

Dans cet article, nous avons sélectionné 4 excellentes campagnes d’Halloween sur les médias sociaux pour sortir du lot ce jour là.

1# Svedka Vodka vous pourchasse sur internet

La célèbre marque de vodka vous lance un sort qui vous suivra partout sur internet, sur n’importe quel site à n’importe quel moment. Grâce à la technique du retargeting, la marque vous traque à travers votre navigation. #HalloweenCurse.


Le concept? Si vous avez le malheur de cliquer sur la première vidéo (ci-dessus) alors la malédiction est activée! Vous ne pourrez vous en sortir seulement si vous partagez la campagne sur les réseaux sociaux pour transmettre la malédiction à quelqu’un d’autre.

Voici quelques exemples de publicité qui auraient pu vous pourchasser:


Cette campagne a été partagée plus de 200 fois sur les réseaux sociaux et la vidéo compte sur Youtube près de 3000 vues, une aubaine pour cette marque entourée de gros concurrents.

En octobre 2018 cette campagne n’est plus active donc n’ayez aucune crainte à regarder ces vidéos, vous ne serez pas poursuivi !

Notre conseil : le retargeting peut être une bonne option pour une campagne Halloween qui fonctionne ! Elle doit cependant être préparée bien à l’avance. En effet, avec l’entrée en vigueur de la RGPD les options seront peut-être un peu plus restreintes.

2# Louer une maison hantée avec AirBnB

L’entreprise américaine est connue pour ses campagnes d’Halloween toujours plus innovantes. L’année dernière, AirBnb vous proposait des lieux hantés que vous pouviez louer pour y passer des vacances effrayantes.

Vous aviez le choix entre le Manoir Parks-Bowman qui abrite une petite fille supposée décédée depuis des années, un hospice pour soldats – dont on entendrait encore les cris la nuit – un château dont l’une des tours aura été le dernier lieu de vie d’une amoureuse inconsolable et enfin, un appartement abritant l’esprit d’un professeur rongé par les remords.

Les amateurs de frissons ont bien été servis puisqu’en plus de proposer la location du lieu hanté, AirBnB a dévoilé les secrets de ces demeures dans leurs moindres détails. Le locataire a alors pu se plonger dans l’histoire du lieu et en connaître toute l’histoire.

Ces 4 annonces ont été partagées plus de 1000 fois sur Twitter et sur les autres réseaux sociaux, et les maisons toutes louées pendant la période.

Notre conseil : demandez à vos followers de vous raconter leurs histoires les plus terrifiantes sur les réseaux sociaux en créant votre propre hashtag. Vous créerez de l’engagement à coup sûr !

3# Burger King vs McDonald’s même à Halloween

Le déguisement du clown est l’un des plus terrifiant, c’est bien connu. Burger King l’a bien compris en s’inspirant, pour sa campagne d’Halloween 2017, de Ronald McDonald’s, l’emblème historique de son plus grand concurrent : la chaîne de fast food McDonald’s.

Burger King décide donc de mettre en scène un jeune homme pourchassé dans les rues par des dizaines de clowns. Pour échapper à une destinée macabre le jeune homme trouve refuge dans un restaurant Burger King dans lequel il tombe nez à nez avec le fameux Ronald McDonald’s. #ScaryClownNight. Celui-ci réclame alors son Whopper (burger far de Burger King).

La vidéo se termine par : “Come as clown, eat like a king”“Venez en clown – mangez comme un roi”.

Encore une fois Burger King se moque gentiment de son concurrent en laissant comprendre que même Ronald McDonald’s serait prêt à tout pour un Whopper.

Mais ce n’est pas tout, Burger King offre un Whopper aux 500 premières personnes à se présenter dans un restaurant déguisées en clown.

La vidéo Youtube a compté plus de 600 000 vues et le #ScaryClownNight a créé plus de 500 000 impressions sur Twitter.

Notre conseil : la publicité comparative est légale en France si elle est utilisée dans les limites du raisonnable. N’ayez donc pas peur de vous déguiser en votre concurrent pour Halloween !

4# KFC vous sauve des vampires

Dans ses vidéos diffusées en Roumanie, la chaîne de fast food met en scène un remède incontournable pour vous sauver d’une invasion de vampires. Une sauce à l’ail qui aurait des pouvoirs spéciaux et qui ferait fuir ces créatures de la nuit.

Tout droit venue de Transylvanie et 100% anti-vampires, cette sauce est disponible sur internet en Roumanie, berceau de l’histoire du vampire le plus connu du monde : Dracula.

KFC conseille donc à ses consommateurs de se procurer cette sauce afin de ne pas être ennuyé le soir d’Halloween.


Sur Youtube la vidéo a atteint presque 7 000 vues et la campagne a été largement partagée sur les réseaux sociaux.

Notre conseil : servez-vous de votre produit ou de votre service comme solution à une terrible malédiction !

Et vous, qu’avez-vous prévu de faire cette année pour effrayer vos followers ? N’hésitez pas à nous raconter vos histoires sur Twitter avec #HootHalloween.

Le reste de l’année est tout aussi important pour vos médias sociaux, n’hésitez pas à consulter nos articles dédiés à la mise en place de campagnes social media:

 

Pour bien réussir votre campagne Halloween, utilisez Hootsuite pour gérer l’ensemble de vos réseaux sociaux  depuis une même plateforme.

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Monday, 29 October 2018

Une dernière saison de ski attend Philippe Marquis

Collaborer, pour une planète en santé

Depuis 2005, l’organisme basé à Limoilou a pour mission de sensibiliser la population aux saines habitudes environnementales. En 13 ans, il a réussi à inscrire à son réseau plus de 600 ménages. Ils s’engagent donc à conduire leurs matières vertes dans des bacs de bois prévus à cet effet et de voir à ce que le compost arrive à maturité.

«L’idée au départ, c’est de donner l’opportunité aux citoyens de la Ville de Québec de pouvoir faire du compost, tout en limitant les transports des camions qui acheminent les ordures à l’incinérateur. Aussi, puisque les sites se trouvent à proximité des résidences, les gens y vont à pied et notre volonté écologique est respectée», explique Claude Labonté, chargé de projet en compostage urbain. Dans un monde idéal, avoue-t-il, le rôle de Craque-Bitume n’est que de passer à vélo de temps à autre, pour s’assurer que tout est bien géré par la population.

Suffisant?

Toutefois, le volume de demandes d’adhésion ne cesse de croître, alors que 700 ménages sont actuellement sur une liste d’attente. C’est pourquoi dix nouveaux emplacements propices au compostage communautaire situés dans Saint-Roch, Saint-Sauveur, Montcalm et Limoilou seront prochainement ajoutés aux 12 existants. De plus, trois emplacements qui connaissent une forte demande jouiront d’un agrandissement.

«Les bacs que nous fabriquons pour accueillir le compost sont généralement placés dans des quartiers centraux où il y a une densité de population suffisante pour supporter l’entretien de ces installations», ajoute M. Labonté.

Malgré que les sites de Craque-Bitume grimperont à 22 d’ici l’hiver et qu’ils permettront de doubler la capacité d’accueil, l’organisme craint que ces derniers, qui accueillent entre 48 et 96 participants chacun, ne soient pas suffisants pour répondre à la demande.

Claude Labonté convient tout de même observer une belle ouverture de la part de la Ville de Québec pour des projets comme celui-ci. Rappelons qu’un projet d’usine de biométhanisation est prévu pour 2022 et qu’il permettrait possiblement de réduire de 82% les déchets.

«Il faut être patient, car on n’a pas le financement pour fournir, mais au moins, la Ville a compris que c’était impossible de n’avoir seulement qu’une usine de biométhanisation et que c’était nécessaire d’encourager des moyens alternatifs comme le nôtre», ajoute-t-il.

Les sites actifs en 2018

- Parc Ferland;

- École de cirque;

- Parc Cartier-Brébeuf;

- Patro Laval;

- Église Saint-Malo;

- École Sacré-Coeur;

- Îlot Fleurie;

- Église NDJC;

- Centre des loisirs Montcalm;

- Parc Henri-Casault (Charlesbourg);

- Cathédrale Holy Trinity (Vieux-Québec);

- Côte Badelard.

 

Les sites ajoutés

- Coopérative d'habitation La maison du peuple;

- Marina Saint-Roch;

- Parc Roger-Lemelin;

- Coopérative Cohabitat;

- Centre Frédéric-Back;

- Domaine Maizerets;

- Église Saints-Martyrs-Canadiens;

- École Saint-Albert;

- Pointe-aux-Lièvres;

- Parc Durocher;

- Parc Cartier-Brébeuf (agrandissement);

- Église Notre-Dame (agrandissement);

 - Église Saint-Malo (agrandissement).

 


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Sunday, 28 October 2018

Mythe et fable sur le quartier Saint-Jean-Baptiste

Alice Guéricolas-Gagné a étudié en littérature à l’Université Laval. Elle a vécu la plus grande partie de sa vie dans le quartier Saint-Jean-Baptiste, un microcosme de richesse et de diversité, selon elle.

Genèse d’un roman hors de l’ordinaire

L’écriture de Saint-Jambe s’est fait sur plus de cinq ans. L'auteure a commencé par écrire des fanzines sur le quartier et ses habitants. Ces derniers ont été retravaillés pour faire partie du livre avec d’autres textes nouvellement écrits.

Dans le roman, qui est composé de plusieurs petites histoires avec des narrateurs différents qui sont en fait des témoignages fictifs, la démarche d’Alice Guéricolas-Gagné se veut ethnologique.  La jeune auteure a participé au programme de mentorat offert par Première Ovation en la personne de François Blais, un auteur reconnu de la Mauricie. «C’est lui qui m’a poussé à publier», explique-t-elle.

«Quartier exceptionnel»

Dans Saint-Jambe, on assiste au siège du quartier, dans un monde fantaisiste où le temps est flou. Est-on dans le passé, dans l’avenir ou dans un monde parallèle extraordinaire? Difficile à dire. Inspirée de la Grèce antique et du Moyen Âge, l’histoire a un côté prophétique avec la montée des eaux qui finissent par recouvrir la Basse-ville, par exemple.

«Il y a ici une concentration de gens avec beaucoup de diversité, qui ont des parcours de vie très inspirants», rapporte la jeune femme. Le quartier, mythologisé, devient un château fort à défendre, un endroit où «la vision du monde est très différente des autres. Les personnes qui y vivent sont souvent en marge pour différentes raisons mais souhaitent se rattacher au fait qu’ils font partie de l’humanité», croit la jeune femme. Inspiré également du folklore et des contes et légendes orales, le roman est écrit sous une forme inusitée.

Prix Robert-Cliche

Alice Guéricolas-Gagné vient de remporter le prix, qui a déjà été attribué dans le passé à Chrystine-Brouillet et Robert Lalonde. Le prix veut récompenser la qualité d’un premier roman et s’accompagne d’une bourse de 10 000$. La jeune femme de 24 ans en profitera pour monter des projets artistiques en lien avec l’écriture, le théâtre et le théâtre d’objets.


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Le climat hivernal amène son lot de pannes de courant

En plus des branches cassées, du verglas sur la chaussée et de la température légèrement en-dessous de 0 degrés Cesius, près de 10 000 résidents ont été privés d'électricité, dimanche matin.

Le nombre s'élevait encore à plus de 3000 abonnés sans service d'Hydro Québec dimanche, en début d'après-midi. 

Ce sont les forts vent qui ont causé ces pannes, la végétation et les branches tombées sur les fils en sont les responsables. 

Les équipes d'Hydro Québec s'affairent à régler les situations le plus vite possible, en parlant de rétablissement pour la soirée.


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Bonbons et frissons à la Mascarade de l'Halloween

Fin de la prohibition de l’alcool et légalisation du cannabis : une comparaison qui en dit long

Selon Yanick Charette, professeur adjoint à l’École de service social et de criminologie de l’Université Laval, le processus et les résultats entourant les deux expériences de criminalisation des substances illicites sont comparables sur certaines bases.

Non à l’alcool dans les années 1920

Le Canada a adhéré brièvement, entre 1919 et 1925, à un mouvement semblable à celui des États-Unis qui ont criminalisé la fabrication, l'importation et l'exportation de produits alcoolisés pendant pas moins de 13 ans. Par contre, des difficultés d’application de la réglementation, l’enrichissement  des trafiquants sur le marché noir au détriment de l’État et la crise économique de 1929 ont voué la mesure restrictive à l’échec. D’ailleurs, la prohibition absolue n’a jamais frappé le Québec, puisque les boissons contenant moins de 2,5% d’alcool étaient toujours permises.

Même sort pour les drogues

Avant 1920, aucun règlement n’était officiellement en vigueur afin de contrôler la vente et la consommation de drogues. Toutefois, une grande vague d’immigration chinoise sur la côte ouest du Canada a entraîné l’arrivée de l’opium sur le territoire, psychotrope que le gouvernement a tout de suite voulu contrôler. On a alors assisté, dès 1921, à une prohibition sans cesse croissante, avec l’augmentation de la peine maximale d’emprisonnement et l’octroi de châtiments corporels pour les téméraires qui en possédaient ou qui en vendaient. Toutefois, ce n’est qu’en 1923, au moment de renouveler la Loi sur les drogues, que le cannabis a été ajouté in extremis à la liste des produits illicites, alors considéré comme aussi dangereux que l’héroïne et la cocaïne.  

Pourtant, la première mise en application de la loi n’a été nécessaire que 14 ans après son entrée en vigueur. Le Canada s’est donc retrouvé être un précurseur quant à la réglementation contre le cannabis qui a été adoptée aux États-Unis en 1937.

Pas pour longtemps, le Flower Power

Le mouvement social Flower Power témoigne de la montée en popularité du cannabis auprès d’une mixité de clientèles, et ce, jusque dans les années 1970. C’est l’arrivée de Richard Nixon comme président des États-Unis qui a sonné la fin de la fête. Il a mené, avec d’autres pays, dont le Canada, une «guerre contre la drogue», en instaurant des mesures répressives et dissuasives auprès des consommateurs.   

«On s’est rendu compte que c’était une stratégie qui fonctionnait plus ou moins, alors on a cherché d’autres moyens pour gérer la consommation de cannabis et c’est comme ça que la légalisation est apparue comme une solution», poursuit M. Charette. 

Une bonne ou une mauvaise?

Ceux qui militaient en faveur de l’interdiction des drogues et de l’alcool pensaient qu’elle découragerait la consommation. Ce qu’ils ne savaient pas, c’est que tout un marché illégal de vente se développerait en parallèle.

Pour Yanick Charette, il demeure difficile de prédire l’influence de la légalisation du cannabis au Canada sur le marché noir actuel, bien implanté depuis 1923.

«Ça va prendre du temps et le gouvernement devra utiliser de bonnes stratégies économiques pour pouvoir réussir à le combattre, mais si l’on se fie aux conséquences en lien avec le retour légal de l’alcool, on peut s’attendre d’ici 10 ans à observer une réduction des prix sur le marché noir qui a d’ailleurs déjà débuté, une diminution des emprisonnements et moins de violence liée au marché illégal, sans toutefois que la consommation devienne moindre», prévoit le professeur de l’Université Laval. 


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Saturday, 27 October 2018

Retour de mission

Cocktail météo à prévoir

Passerelle cyclable: les citoyens seront consultés

C’est le 7 novembre de 16h à 21h qu’aura lieu l’activité, au terminal de croisières de la rue Dalhousie. En plus de cette invitation au public, la Ville a fait savoir que la structure de la passerelle serait en acier au lieu du béton initialement prévu.

Le projet

La passerelle vise à répondre aux enjeux de cohabitation entre les cyclistes et les piétons et à assurer leur sécurité sur les quais du Port de Québec, même en période de fort achalandage. Le coût total du projet est de 6M$, la Ville de Québec en paie 3,9 M$ et l’Administration portuaire de Québec 1,1 M$. Il reste un partenaire à trouver pour le million manquant, mais le maire de Québec Régis Labeaume, n’a pas souhaité donner de noms, ni s’avancer sur la possibilité pour la Ville de payer le montant restant.

La nouvelle passerelle sera composée d’acier, avec une finition de la piste en polymère texturé et coloré. Des filets tissés en acier inoxydable serviront de garde-corps. La finesse de ces filets et le recours à des câbles pour les tendre constituent un clin d’œil au bastingage des bateaux. Ce design préservera les percées visuelles vers le fleuve, tant pour les piétons que pour les usagers de la passerelle.

C’est dans le cadre du Processus Environnemental de Participation Citoyenne (PEPC) que le projet sera présenté aux citoyens afin de les informer et de les entendre.

La passerelle, dont la construction devrait commencer début 2019, devrait être inaugurée au courant de l’été 2019.

Jean Rousseau pas certain de la pertinence

Le conseiller du district Cap-aux-Diamants déplore que la passerelle soit imposée aux cyclistes sans qu’ils aient pu connaître les autres scénarios possibles.

«La coexistence entre les piétons et les cyclistes, ça n’est pas clair», insiste également l’élu. En effet, Régis Labeaume avait affirmé lors de l’état de la situation ne pas encore savoir si les piétons pourraient utiliser la passerelle l’hiver, par exemple.

«Les cyclistes à qui j’ai posé la question m’ont dit, c’est intéressant. Mais pour ceux qui font beaucoup de vélo, ils ne passeront pas là, ils préfèrent passer sur la rue Dalhousie», soutient M. Rousseau.

Le conseiller soutient que la solution actuellement proposée ne touche qu’un sous-ensemble de la population.


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Le nettoyage des gouttières: un mal nécessaire

Friday, 26 October 2018

Une partie de la clientèle serait relocalisée

Dans un descriptif de la commission scolaire, on apprend que l’école Cardinal-Roy offre des services répartis en trois secteurs: le général, pour les élèves de son bassin d’alimentation de 1re et de 2e secondaire. S’ajoutent celui de l’adaptation scolaire, pour les élèves de cheminement particulier continu qui habitent le centre-ville et celui du programme Sport-Arts-Études, pour les élèves de la 1re à la 5e secondaire qui proviennent de la région.

La clientèle scolaire l’an dernier représentait 838 élèves dont 67 du secteur général, 60 autres en adaptation scolaire et 711 pour le Sport-Arts-Études soit 85% de sa clientèle. Le document de la commission scolaire précise que depuis plusieurs années, malgré une décroissance marquée de la clientèle au secondaire et la concurrence des écoles privées, celle de l’école Cardinal-Roy n’a jamais cessé de croître.

«Bien que l’école accueille trois secteurs de services distincts, cette croissance est presque exclusivement due à la grande popularité du programme Sport-Arts-Études», peut-on lire dans le document. Si cette demande est acceptée par les commissaires le 20 novembre et le Ministère ensuite, l’école serait dédiée exclusivement aux élèves de Sport-Arts-Études et elle n’accueillerait plus ceux de son bassin d’alimentation, forçant la direction à déployer les autres élèves vers d’autres écoles.

Tout particulier ou organisme, souhaitant participer à cette séance de consultation publique, devait s’inscrire avant le 10 octobre. Quarante-quatre intervenants sont inscrits. À cela s’ajoutent huit conseils d’établissements, le comité de parents de la Commission scolaire de la Capitale et le comité consultatif des services aux élèves handicapés et des élèves en difficulté d'adaptation ou d'apprentissage (EHDAA).

L’assemblée publique débutera à 19 h à l’école Cardinal-Roy au 50, rue du Cardinal-Maurice-Roy.


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Légalisation du cannabis: les écoles prêtes

Des activités de sensibilisation et d’information ont été réalisées dans les milieux, tant au niveau du personnel que pour les élèves et les parents.

À la Commission scolaire des Découvreurs, les élèves ont été informés dès la rentrée de la politique en vigueur. «À savoir qu’il est interdit pour quiconque de posséder et de consommer du cannabis sur les terrains de l’établissement scolaire, incluant les personnes majeures. De plus, le code de vie demeure inchangé, c’est-à-dire que la consommation d’alcool et de drogues ainsi que le trafic de toute espèce sont strictement interdits et considérés comme des manquements», a fait savoir Alain Vézina, conseiller en communication pour la Commission scolaire des Découvreurs. À la Commission scolaire des Premières-Seigneuries, les élèves du secondaire ont été informés, tout comme les adultes qui y étudient. «Pour nos centres de formation générale aux adultes et les centres de formation professionnelle, tous les élèves sont informés de l’interdiction d’en posséder, d’en consommer et d’en vendre sur les terrains et à l’intérieur des établissements, et ce, malgré le contexte de légalisation.  Une journée des partenaires aidants est même organisée avec plusieurs organismes, notamment Narcotiques Anonymes», a indiqué Martine Chouinard, directrice du Secrétariat général, des communications et du transport scolaire de la CSDPS.

Répondre aux questionnements des parents

À la Commission scolaire des Premières-Seigneuries, les parents ont eu des rencontres d’information dans certaines écoles. À la Commission scolaire des Découvreurs, il y a eu une présentation de l’intervenant en dépendance lors des rencontres de parents ainsi qu’un point d’information sur la légalisation. Des conférences pour les parents sont également à venir pour certains établissements.

Les commissions scolaires ont toujours une tolérance zéro en ce qui a trait à la consommation, à la vente et à la possession et cela ne changera pas, assurent-elles. Elles se sont davantage préparées pour les parents qui peuvent avoir des questionnements et en prévention pour les jeunes.


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Des poètes perchés pour le festival Québec en toutes lettres

Ces artistes français, qui se mettent en situation de vertige pour créer, incarnent bien la thématique de ce 9e festival: La splendeur du vertige. Le public est invité à assister gratuitement à leurs performances poétiques. Ils seront placés en situation de vertige sur le sommet des édifices, les Regardeurs scrutent la ville, confiant aux vents des secrets poétiques sur feuilles volantes ou brandissant des écriteaux-poèmes. Le festival a également l’honneur d’accueillir cette année deux écrivaines marquantes, Antonine Maillet et Suzanne Jacob, le temps d’une rencontre autour d’un thé. En prélude au festival, il sera possible de découvrir les expositions Mathieu Valade Manifeste et Zoom sur Refus global.


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SEO et PPC : 4 astuces fondées sur des données pour trouver le mélange optimal des stratégies organique et payante

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Les résultats de recherche sont devenus beaucoup plus dynamiques et personnalisés, ce qui rend plus difficile d’apparaître en haut de la SERP de Google. Le moteur de recherche évolue, les pros du search marketing évoluent avec lui en combinant et renouvelant leurs stratégies de SEO et PPC. Mais comment trouver et maintenir le bon équilibre entre les tactiques organique et payante ?


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Vers une autorisation des potagers en façade

Nul doute que la récente saga de François St-Pierre, ce citoyen de Sillery passionné d'agriculture urbaine mis à l'amende (1379$) pour avoir fait pousser des légumes devant sa maison, a servi de déclencheur et forcé la réflexion. Depuis, l’administration municipale songe à autoriser les potagers en façade dès le printemps 2019.

Le maire Régis Labeaume a été le premier à ouvrir la porte au jardinage devant les maisons. Toutefois, il souhaite que «la réglementation soit souple et facile d'application», pour ne pas se retrouver avec des terrains de mauvais goût et des nuisances.

Même son de cloche du côté de Marie-Josée Savard, vice-présidente du comité exécutif, responsable de l’aménagement du territoire. Celle-ci précise que «l'encadrement s'avère plus complexe qu'il n'y paraît, afin d'assurer une certaine harmonie». Il faudra notamment déterminer les plantes, les contenants, les hauteurs et les engrais permis.

Signe de la faveur populaire, M. St-Pierre a récolté plus de 15 000 signatures d'appui en ligne pour que la réglementation municipale soit révisée. Le dirigeant de l'entreprise Du toit à la table a déposé sa volumineuse pétition lors d'une assemblée du conseil municipal tenue à la mi-octobre, à l'hôtel de ville de Québec.

Expériences probantes

-Édifices qui pratiquent la culture urbaine sur leur toit: Assemblée nationale, Château Frontenac, Industrielle Alliance et Lauberivière.

-Villes qui permettent déjà les jardins en façade: Drummondville, Granby, Rimouski, Sherbrooke et Victoriaville.


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Thursday, 25 October 2018

Playing Hard: un documentaire haletant

Trois personnes travaillant chez Ubisoft sont étudiées dans le documentaire : le concepteur, Jason VandenBerghe, qui semble tout droit sorti d’un château moyenâgeux avec son look de Gandalf du monde réel; Stéphane Cardin, producteur au long cours du projet et Luc Duchaine, directeur marketing.

Jeu et réalité

Le parallèle entre le milieu de travail cruel et sans pitié de l’industrie du jeu vidéo et le jeu lui-même est frappant. Les trois intervenants se battent littéralement pour leur survie, chacun est en équilibre précaire. Risque de ne pas obtenir de financement à chaque étape, retrait de certaines fonctionnalités par manque de temps, démissions en rafale dans l’équipe… On comprend pourquoi M. VandenBerghe utilise sans cesse le vocabulaire de la guerre pour parler de son jeu.

Cinq ans pour des milliards de profit

C’est dit dès le début: l’industrie du jeu vidéo rapporte plus que l’industrie cinématographique. On survole quelques-unes de ces étapes: images de synthèse conçues à partir de véritables combats, réunions de l’équipe de développement, voyages à l’étranger de l’équipe principale pour vendre et promouvoir le jeu. Mais ce qui retient l’attention, c’est la fragilité de la vie de ces haut-placés chez Ubisoft qui ne tolèrent pas l’échec. L’immersion dans ce monde angoissant et étrange est totale: ces geeks passionnés et fragiles sont à l’image des conquérants de leur jeu: combattants mais mortels.

Le documentaire Playing Hard: quand le jeu devient réalité est sorti à la fin septembre.

En quelques mots

-Public: Adulte

-Durée: 1h30

-Les + : On ne s’ennuie pas! Musique d’ambiance parfaite, Intéressant même si on ne s’y connaît pas en <@Ai>gaming<@$p>. Aussi prenant qu’un bon film d’action. Réalisation impeccable.

-Les – : On aimerait en savoir plus sur le ressenti de leurs proches face à leur activité professionnelle intense. Le documentaire s’attarde aux personnes plutôt qu’au processus de création en tant que tel, ne vous faites donc pas d’attente en ce sens.

 


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L’Halloween sur les Plaines

Wednesday, 24 October 2018

Par quoi commencer?

La plupart des gens font au moins une ou plusieurs actions zéro déchet sans même le savoir. Comment commencer ou comment en faire plus? Camille Lambert-  Deudelbeisse, chargée de projet chez Craque-Bitume, donne des conseils.

Repenser et changer ses habitudes

À l’origine du mode de vie zéro déchet, il faut réduire ses besoins. «Avant de se procurer quelque chose, il faut se demander si on en a réellement besoin, réutiliser, réparer ou revaloriser un objet qu’on a déjà. Et si on achète quelque chose, il faut s’assurer que le produit est de qualité afin qu’il dure plus longtemps, il faut aussi bien l’entretenir», résume Mme Lambert-Deudelbeisse. Ensuite pour réduire ses déchets il faut recycler, réutiliser et composter. «Lorsqu’on veut se débarrasser de quelque chose, pourquoi ne pas faire appel aux groupes de dons? Il y a probablement une personne qui veut absolument l’objet dont vous vous débarrassez», fait valoir la chargée de projet. Les groupes de dons existent sur Facebook et sur les sites de petites annonces dans la section à donner/gratuit.

Plusieurs champs d’action

Au niveau alimentaire: acheter en vrac les produits de base. Une bonne conservation des aliments permet aussi de réduire les déchets. «On peut les congeler, les transformer ou les canner pour éviter de les perdre», fait savoir la chargée de projet. Jardiner permet aussi d’avoir ses propres aliments. Cela réduit le transport et l’emballage. «Et si on n’a pas envie de jardiner, on peut s’abonner à un panier bio», mentionne Mme Lambert.

Autonomie vestimentaire: Donner une 2e vie à ses vêtements, les créer en ayant des bases en couture, les réparer quand ils sont brisés sont des pistes de solution.

Hygiène: Papier toilette et mouchoirs lavables, utiliser ses contenants de produits d’hygiènes pour du remplissage en vrac [la plupart des produits d’hygiène, même le dentifrice, sont disponibles en vrac]. Pour les femmes, coupe menstruelle, serviettes hygiéniques lavables.

Transports: se déplacer en transports non polluants, par exemple en vélo, trottinette, en planche à roulettes, ou en transports en commun. Sinon, au moins rentabiliser ses déplacements pour en faire moins.

Les 5 R de Béa Johnson pour commencer un mode de vie zéro déchet

-Refuser (ce dont on n’a pas besoin)

-Réduire (ce dont on a besoin) 

-Réutiliser (ce qu′on consomme)

-Recycler

-Composter (les restes)


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3 ASTUCES INDISPENSABLES pour une pub Facebook réussie ! (Facebook Ads)

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🎓 Recevez 1H de la formation Facebook complète 🎓 : http://bit.ly/Formation-Facebook-1Hgratuite Apprenez à gérer le Facebook Manager de façon optimale : Découvrez 3 astuces qui vont vous permettre de passer vos publicités au niveau supérieur ! Nous allons vous montrer des comptes Facebook du Business Manager de l'agence Publimats. L'agence de publicité facebook a dépensé plus de 330 000€ en les 12 derniers mois pour ses clients. Nous allons apprendre comment bien : 1. Faire une proposition de valeur 2. Déterminer son Audience sur Facebook 3. Faire du A/B Testing et son importance
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Québec prête à recevoir la 54e Coupe Vanier

Comment les grandes marques utilisent les publications 3D sur Facebook

Oubliez les lunettes 3D au cinéma, Facebook vous permet de visionner des publications 3D directement sur votre écran d’ordinateur. Le réseau social le plus utilisé au monde met la réalité augmentée et la réalité virtuelle à la portée de tous grâce à cette nouvelle fonctionnalité. Les utilisateurs peuvent interagir avec les images, les objets et les vidéos en 3D directement dans leur fil d’actualité.

Comment faire pour publier du contenu 3D ? Les marques et les utilisateurs Facebook peuvent glisser et déposer dans leur fil d’actualité des objets ainsi que des images 3D au format glTF 2.0 (parfois appelé « le JPEG de la 3D »), qu’ils auront téléchargés d’un appareil photo ou d’une application 3D utilisée par les développeurs. Vous trouverez une démo dans la vidéo ci-dessous.

Le lancement du contenu 3D prévu pour l’été 2018 avait été annoncé en mai lors du F8, la conférence annuelle de Facebook. À l’heure actuelle, seule la publication organique est disponible, mais il s’agit déjà d’une avancée considérable pour les spécialistes du marketing.

Dans cet article, nous allons vous exposer les bénéfices que les publications 3D peuvent apporter à votre marque dans le cadre de votre stratégie marketing sur Facebook. Nous citerons également quelques exemples concrets de leur utilisation.

Bonus : Téléchargez gratuitement notre guide pour transformer votre trafic sur Facebook en ventes à travers 4 étapes faciles à suivre

Pourquoi publier du contenu 3D sur Facebook ?

Les textures et l’éclairage sont pris en charge par Facebook, permettant aux designers de créer des objets à l’aspect rugueux, brillant, métallique, ou encore mou, pour un rendu hyper réaliste. Les publications 3D pourraient être l’occasion pour votre marque de se démarquer sur ce réseau social.

Selon une étude réalisée en 2016 par le Content Marketing Institute, 81 % des personnes interrogées affirment que le contenu interactif attire l’attention plus efficacement que le contenu classique. Or, nous savons tous que l’algorithme de Facebook donne la priorité au contenu qui encourage plutôt les utilisateurs à interagir, au lieu de continuer à parcourir leur fil d’actualité.

Les publications 3D sont plus interactives que les autres types de contenu Facebook parce que les utilisateurs peuvent jouer et interagir avec ces objets dans leur fil d’actualité. Certaines marques, à l’instar de celles que nous vous présentons ci-dessous, autorisent même les utilisateurs à ajouter des images 3D dans leurs publications. Une des meilleures façons d’encourager les consommateurs à interagir avec votre marque consiste en effet à leur donner l’opportunité de créer leur propre contenu.

3 marques qui se démarquent sur Facebook grâce aux publications 3D

1# Wayfair vous montre comment un produit peut s’insérer dans votre intérieur

Wayfair « met en scène les meubles » dans ses publications 3D sur Facebook. Le distributeur en ligne spécialisé dans le mobilier permet aux utilisateurs de zoomer en avant, en arrière, et de « circuler » autour d’un meuble dans un intérieur virtuel.

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Now, you can view your favorite furniture up-close and easily interact with Wayfair items before you buy! How? We’re…

Posted by Wayfair on Tuesday, February 20, 2018

 

Il s’agit là de la façon la plus simple d’utiliser la 3D à des fins marketing. Vous pouvez ainsi mettre votre produit en valeur de façon détaillée ; cette mise en situation est d’ailleurs presque aussi parlante qu’une visite en magasin. Vous aiderez vos clients à se projeter en leur montrant comment un service ou un produit peut s’insérer dans leur vie, une étape fondamentale du parcours d’achat.

La façon dont Wayfair se sert de la 3D convient parfaitement aux distributeurs en ligne qui n’ont pas de magasins. Avec l’évolution du e-commerce, les marques numériques doivent trouver comment faire connaître leurs produits auprès des consommateurs, pour combler cette lacune du parcours d’achat en ligne.

Pour les clients potentiels, la 3D est presque aussi parlante qu’une visite en magasin.

2# Jurassic World permet aux utilisateurs de partager les personnages les plus populaires du film

Jurassic World combine 3D et réalité augmentée afin que les fans puissent facilement générer du contenu. À ne pas confondre avec la réalité virtuelle, la réalité augmentée consiste à placer du contenu dans le monde réel à l’aide de l’appareil photo de votre smartphone. Le principe est similaire à celui des filtres en réalité augmentée de Snapchat.

Grâce à la 3D, les fans de Jurassic World peuvent s’approcher de l’un des vélociraptors les plus célèbres de Hollywood : Blue.

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Get a closer look at Blue — in 3D. Add her to your photo or video with #JurassicWorld effect on your Facebook camera here: http://unvrs.al/JWFBCam

Posted by Jurassic World on Tuesday, February 20, 2018

 

Dans cet exemple, les utilisateurs peuvent ajouter une version 3D de Blue lorsqu’ils enregistrent une vidéo ou prennent une photo via l’application Facebook. Le vélociraptor peut pivoter, rugir et même faire du bruit, ce qui le rend encore plus amusant pour les utilisateurs en train de créer du contenu.

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Posted by Austin Jackson on Tuesday, February 20, 2018

Par ailleurs, le contenu généré par les utilisateurs présente de nombreux avantages pour les marques. Il est en effet 35 % plus facile à remarquer que les autres médias et 50 % plus fiable selon les consommateurs. Lorsqu’un utilisateur partage du contenu qu’il a créé sur son fil d’actualité, les marques peuvent atteindre un public spécifique et renforcer leur notoriété. En ajoutant Blue à leurs publications, les utilisateurs font la promotion du film auprès de leurs amis et de leurs proches sur Facebook, et ce gratuitement.

Le contenu créé peut en outre être partagé par les utilisateurs et votre marque. Vous n’aurez plus à trouver de nouvelles idées car vous pourrez réutiliser les meilleures publications sur les réseaux sociaux.

Il est assez facile d’encourager les consommateurs à ajouter leurs personnages préférés au contenu qu’ils créent, qu’ils soient issus d’un film, d’une série télévisée ou d’un jeu vidéo. De cette façon, vous pourrez renforcer sans aucune difficulté la présence de votre marque sur Facebook. Profitez du côté ludique des publications 3D et offrez à vos abonnés des outils qui les aideront à créer leur propre contenu.

3# Coach invite ses abonnés dans les coulisses

Coach se sert de la 3D pour révéler les coulisses de la Fashion Week sur Facebook en offrant à ses abonnés une expérience vidéo immersive à 360 degrés.

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Missed our #NYFW show? Get a 360-view of the #CoachFall2017 runway show below and visit your nearest participating Simon Mall for the ultimate 360 experience: www.simon.com/coach

Posted by Coach on Friday, February 24, 2017

En révélant comment fonctionne votre entreprise, à l’instar de Coach, vous pouvez vous rapprocher des consommateurs et créer un lien particulier avec eux. Vous montrerez le côté humain de votre marque, car jusqu’ici, le public ne connaît de vous que la version soignée et présentable que vous vous efforcez de créer.

Une publication 3D peut sublimer les coulisses de votre marque grâce à la réalité virtuelle. Votre public aura presque l’impression d’y être. Vous lui ferez vivre une expérience que de simples photos sur Facebook ne peuvent pas égaler.

Les marques peuvent se servir de ce type de vidéos 3D dans d’autres contextes où l’interactivité est primordiale, comme un événement, une visite de la salle d’exposition, une démo ou la présentation d’un produit. Elles sont particulièrement utiles pour établir des liens avec des clients qui ne sont peut-être pas en mesure d’assister à ces événements en personne.

Pour en savoir plus sur comment avoir une bonne stratégie sur Facebook :

 

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Tuesday, 23 October 2018

Les trois architectes du succès

Tarifs décents réclamés pour améliorer l'aide juridique

Lors d'un point de presse tenu au Palais de justice de Québec, il voulu profité de l’arrivée de la nouvelle ministre de la Justice du Québec, Me Sonia Lebel, pour rouvrir la discussion sur les tarifs d’aide juridique. La requête de l'AADQ vise à se rapprocher des standards canadiens et à encourager l’utilisation adéquate des ressources judiciaires.

Me Rousseau rappelle que l'arrêt Jordan rendu par la Cour suprême en juillet 2016 a radicalement changé la pratique du droit criminel. Cette décision affirme que les victimes et les accusés doivent être entendus dans un délai raisonnable. Pour se conformer à cette exigence, les avocats de la défense ont l’obligation plus que jamais de préparer rapidement leur dossier. Or, contrairement à tous les autres acteurs du système de justice, les avocats de la défense sont les seuls à ne pas être rémunérés pour préparer les dossiers qu’ils pilotent quotidiennement. On estime qu'une réforme s’impose.

«L’AADQ demande en urgence au gouvernement d’actualiser le tarif d’aide juridique en matière criminelle en s’inspirant des programmes mis en place par l’Ontario. Cette réforme est nécessaire pour que les avocats de pratique privée soient en mesure de répondre aux exigences des Tribunaux et permettre à tous un véritable accès à la justice», insiste le président de l’AADQ.

Il fait remarquer qu'en Ontario, les honoraires sont adaptés à la réalité du système de justice. Les programmes permettent une utilisation responsable des fonds publics et des ressources judiciaires, tout en permettant d’assurer une représentation adéquate des gens admissibles à l’aide juridique.

Tarifs dérisoires et démotivants

En référant aux données de 2016-2017, Me Rousseau fait valoir que plus de 60% des dossiers d’aide juridique à Québec sont traités par un avocat de pratique privée. Or, il note que les honoraires qui sont assumés par l’État sur la base d’un montant forfaitaire n’ont pas été revus depuis plusieurs années. Ainsi, quelle que soit l’ampleur de la charge de travail, le tarif forfaitaire est de 330$ ou de 550$, selon la gravité de l’infraction reprochée. À son avis, ce tarif n’encourage aucunement la préparation des dossiers et nuit au déroulement des procédures.

«Ces conditions ne sont pas favorables à offrir une représentation de qualité à la population, telles que nos obligations déontologiques l’exigent. Avec une rémunération aussi basse, nous acceptons des mandats d’aide juridique par vocation, pour le principe de l’égalité des droits et un accès à la justice pour tous. Les véritables perdants de ce système ne sont pas les avocats, car la plupart d’entre nous refusent de telles conditions de travail. Ce sont plutôt les accusés, les victimes et la société qui subissent tous les jours les injustices liées au tarif puisque justice ne peut être rendue en temps utile», soutient Me Frédéric Rousseau.

Réforme nécessaire

Selon le président de l'AADQ, il est faux de prétendre que l’accès à la justice passe uniquement par l’augmentation des seuils d’admissibilité à l’aide juridique. «Le volume des dossiers ne cesse d’augmenter et le nombre d’avocats qui acceptent des mandats d’aide juridique diminue puisqu’ils refusent de travailler dans des conditions mettant en péril leurs devoirs déontologiques.  La vérité, estime-t-il, c’est que les gens admissibles à l’aide juridique ont de sérieuses difficultés à se trouver un avocat qui est prêt à les représenter et à investir le temps qu’il faut dans leur dossier.»

Métro Média


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Monday, 22 October 2018

Un chantier de rénovation recèle une carte de pointage ancienne

Se former au Content Marketing en 2018 : quelles sont les ressources en ligne ?

Se former au Content Marketing en 2018 : quelles sont les ressources en ligne ?

Comment se former efficacement au Content Marketing ? Le contenu a décidément le vent en poupe, et de plus en plus d‘entreprises ont besoin (ou vont avoir besoin) de profils compétents, disposant des bonnes expertises. Dans cet article, nous allons vous proposer une sélection de ressources pratiques qui devraient vous intéresser.


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Friday, 19 October 2018

Daniel Sylvain, le maestro du sport

Pour le résident du quartier Vanier, l’aventure a débuté chez les Remparts en 2007 après 18 ans dans les discothèques. «Six mois après avoir quitté les bars, j’ai croisé par hasard Carl Labrie qui s’occupait de l’animation au Colisée. Il m’a demandé ce qui se passait de nouveau dans ma vie. Je lui ai dit que je m’ennuyais d’être DJ, mais pas de me coucher à 4h. Comme il cherchait quelqu’un pour les matchs des Remparts, il me l’a proposé», raconte Daniel Sylvain. La proposition incluait aussi les matchs du Blizzard du Séminaire St-François. Depuis, les équipes d’animation du Rouge et Or football, des Capitales et du Tournoi Pee-Wee peuvent aussi le compter parmi leurs membres.

Actif dans différents sports, il considère que son travail change très peu selon la discipline disputée sur le terrain ou sur la glace. «Dès qu’on fait jouer une musique ou un effet sonore, on veut une réaction des partisans. On veut que les gens tapent des mains, qu’ils s’amusent et qu’ils dansent. C’est dans le déroulement que ce n’est pas pareil», explique-t-il, citant notamment en exemple les arrêts fréquents d’une partie de football et les longues séquences de jeu du hockey.

Travail d'équipe

Seul devant son ordinateur pendant les rencontres, Daniel Sylvain assure pourtant que son travail en est un d'équipe. «Le DJ est accompagné d’un annonceur-maison, d’un responsable des reprises vidéos, d’un réalisateur et de caméramans... C’est un gros travail de synchronisation entre tout le monde! » En avant-match, il n’a pas de routine précise, mais il aime arriver deux heures avant le début d’un événement. Il participe toutefois à une réunion afin de faciliter la coordination des promotions du jour.

Pour ce qui est des choix musicaux, il tente d’alterner les styles et doit s’adapter rapidement en fonction de la dernière séquence de jeu. «Je ne mettrai pas du rock lors de trois arrêts de jeu consécutifs. Je vais essayer de mettre de la pop et un peu de franco une fois de temps en temps aussi. Si la chanson que j’avais de prête est hyper joyeuse et que l’adversaire marque, j’ai trois secondes pour me trouver un plan B, même chose si l’arbitre appelle une punition», illustre-t-il.

D’ailleurs, le respect des officiels est aussi à prendre en considération. «Aux Capitales, ça m’est arrivé une fois de passer une chanson pour rire un peu des officiels. On m’a rapidement fait signe que j’avais intérêt à couper le son. Je sais que c’est déjà arrivé au baseball indépendant aux États-Unis qu’un DJ se fasse expulser par un arbitre. Heureusement, ça ne m’est pas arrivé encore!»

Évidemment, la possibilité d’un retour des Nordiques le fait rêver. «C’est sûr qu’on y rêve, mais on est chanceux, on peut déjà offrir de l’animation du même calibre que dans la Ligue nationale de hockey en présentant du hockey junior ici», conclut-il.


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Connaissez-vous le lykoi ou chat loup?

Ayant commencé avec l’élevage de sphynx, ces affectueux félins qui en repoussent certains par leur absence de poils, Denise Ouellet élève aussi le lykoi depuis peu. «Les gens pensaient d’abord que les chats porteurs du gène étaient malades et ils les envoyaient au refuge», raconte-t-elle. C’est une éleveuse de sphynx américain, Patti Thomas, qui a amené un lykoi chez son vétérinaire, M. Gobble, en 2010. Ce dernier a effectué tous les tests génétiques nécessaires, permettant de déterminer qu’il s’agissait bel et bien d’une nouvelle race.

Un chat différent
Le lykoi est un chat pour le moins «spécial», dont l’apparence fait penser au loup. «D’ailleurs, lykoi veut dire loup en grec», nous informe Mme Ouellet. Ce chat n’a pas de sous-poils et possède un poil dur. «Il doit avoir un certain degré de nudité, il n’est pas fourni et ses yeux sont dégagés. Son poil ressemble à celui du terrier.» Il réussit toutefois à nous méprendre, car au toucher, sa fourrure est très douce. «Ce sont des chats très affectueux, précise aussi la passionnée. C’est une race en développement, des démarches sont actuellement effectuées afin de faire reconnaître la race auprès de The international Cat association (TICA). Contrairement au sphynx qui est nu ou qui n’a parfois qu’un petit duvet, le lykoi, lui, perd son poil. «On recommande toutefois de ne pas trop le brosser, car il va perdre son poil», explique Mme Oulette.

Élevage certifié
Seulement trois éleveurs certifiés font l’élevage de lykoi au Québec. Dans la région de Québec, la Chatterie L’Éden est la seule. Mme Ouellet a commencé cet élevage en 2016. «Mais ils ne naissent pas tous de cette façon.» Les chatons non porteurs du gène sont alors vendus au tarif d’un chat domestique bien qu’ils aient reçu le même traitement et tous les mêmes soins que les autres chatons de la portée. «Nous faisons vraiment cela par passion», souligne Mme Ouellet.

La sélection… des maîtres
Les éleveurs ne remettent pas les chats à n’importe qui. «On ne choisit pas notre chat en fonction de la couleur de son pelage ou de ses yeux, mais pour son tempérament. Il faut venir le choisir sur place et y aller selon la chimie», explique l’éleveuse. Il faut aussi que les futurs propriétaires aient le temps requis pour s’occuper de l’animal et surtout ne pas être allergique. «Lorsque les clients ont des enfants, je leur demande de venir avec eux. Il est important de voir le comportement des chats et des petits ensembles.» Pour éviter que les gens n'achètent sur un coup de tête, Mme Ouellet valide aussi leur patience. «Comme il faut être sur une liste d’attente, lorsque le client est capable d’attendre, c’est qu’il est sérieux.»

Envie de voir le lykoi?
Afin de protéger les chatons des virus et maladies, la chatterie n’est pas ouverte au public. Toutefois, la Chatterie l’Éden se promène dans les expositions afin de faire connaître le lykoi. Vous pourrez d’ailleurs les rencontrer au Salon national des animaux de compagnie les 20 et 21 octobre 2018 au Centre de foires de Québec.


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Expérience enrichissante pour deux athlètes de la région

Appui à des projets de plantation d'arbres

L’inauguration du guichet concordait avec une toute première plantation protocolaire (photo) réalisée sur un site de logements de l’Office municipal d’habitation de Québec (OMHQ). L'initiative permet de financer des projets de plantation d’arbres en terrains privés. Un premier appel de propositions est lancé aux citoyens et organismes du territoire, qui sont à la recherche de financement pour réaliser un ou plusieurs projets de verdissement. Une enveloppe de 50 000$ sera partagée entre les projets 2019 sélectionnés d'ici au 20 décembre. Information: www.jourdelaterre.org/qc


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Social Media : le canal le plus puissant pour la distribution du contenu #semrushdebat

Social Media : le canal le plus puissant pour la distribution du contenu #semrushdebat

Les réseaux sociaux sont un des canaux marketing les plus populaires, ils touchent une énorme audience et offrent des opportunités incroyables en termes de visibilité de votre marque. Pour répondre à de nombreuses questions liées à ce sujet, nous avons organisé un Twitter Chat avec l'invité spécial Anthony Rochand, un expert Social Media et Inbound Marketing.


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Thursday, 18 October 2018

GUIDE de la PUBLICITÉ FACEBOOK 2018

GUIDE de la PUBLICITÉ FACEBOOK 2018
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Wednesday, 17 October 2018

Éducatrice: «Pas un métier que tout le monde peut faire»

Parcours

Geneviève a un diplôme en Techniques d’éducation à l’enfance ainsi qu’un diplôme en Techniques d’éducation spécialisée. Elle a suivi cette formation en même temps qu’elle avait obtenu un poste de remplaçante en service de garde dans une école.

Défis

L’éducatrice trouve long et difficile de commencer une carrière en tant qu’éducatrice. «Il faut beaucoup d’années d’expérience pour avoir un poste qui a de l’allure. Et à chaque année c’est à recommencer», explique-t-elle. En effet, les postes sont donnés lors de séances d’affectation (sur le même principe que pour les enseignants). L’éducatrice a actuellement un poste de 17h et 45 minutes, mais elle a également quelques heures en éducation spécialisée ajoutées, ce qui lui «donne une chance». Elle mentionne que si elle n’avait pas la possibilité de faire ces quelques heures en éducation spécialisée et si elle n’habitait pas chez ses parents, elle serait dans l’obligation d’avoir un 2e emploi pour avoir suffisamment d’argent pour vivre.

Fonctionnement différent selon les écoles

Geneviève considère qu’elle est chanceuse d’être dans une école qu’elle a pu choisir, où elle travaille en collaboration avec d’autres membres du personnel de soutien scolaire. Cependant, l’année passée, elle n’est pas bien tombée. «La première école pour laquelle j’ai travaillé, on avait du budget, des beaux jeux et quand c'était brisé on les mettait à la poubelle et on en achetait d’autres. L’année dernière, j'ai travaillé dans une école qui avait un budget dans le négatif. «Fallait tout réparer, ne rien jeter, fait valoir la jeune femme. Chaque école a sa dynamique personnelle et aucune ne fonctionne de la même façon», se désole-t-elle. Elle achète souvent de sa poche des jeux adaptés pour ses élèves.

Le défi de la discipline et de la stabilité

L’employée de la commission scolaire admet que les enfants sont parfois difficiles et ont besoin de beaucoup d’encadrement. «Oui, les enfants nous envoient promener, oui, ils ont de l'attitude, oui ils nous manquent de respect mais c'est des enfants et c'est ma job de leur dire de bien se comporter, de me respecter et de soigner leur langage», raconte-t-elle. Geneviève croit que le vrai problème, ce sont les adultes qui encadrent. «Il n’y a pas de stabilité dans le personnel, déplore-t-elle. Dans mon pavillon, il a y cinq postes, mais deux sont encore vacants. Ça fait deux groupes d’enfants qui n'ont pas d'adulte de référence depuis le début de l'année».

L’éducatrice constate que certains de ses collègues manquent de fermeté et de discipline pour encadrer les enfants, ils sont là selon elle «parce que c’est payant mais ils s’en fichent du travail, s’indigne-t-elle. On manque effectivement de personnel dans les écoles, mais c'est principalement pour combler des 10 à 15 heures semaines et ce n’est pas un métier que tout le monde peut faire!».

Cependant, elle confie que pour elle, il n’y a pas de plus beau métier au monde que celui d’éducatrice et qu’il n’y a rien de plus gratifiant que de voir des enfants évoluer. 


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Une clientèle fragile soutenue depuis 40 ans

Après une brève installation dans une maison ancestrale à Neuville par la suite, l’Amarrage a élu domicile à Val-Bélair en 1978. Judith Bruneau, qui est directrice générale depuis trois ans, précise qu’à ce moment, l’organisme accueillait uniquement des femmes. «Il y avait des cas de violence conjugale, mais tout ça amène généralement des problématiques de santé mentale.» Au fil du temps, l’Amarrage s’est ouvert à une clientèle mixte en conservant son mandat de venir en aide aux personnes vivant des problèmes liés à la santé mentale.

«On ne parle pas seulement de problèmes chroniques, mais de dépressions, des troubles d’adaptation ou d’anxiété», soutient Mme Bruneau. Durant leur séjour volontaire de trois mois, les pensionnaires doivent participer à des ateliers tous les matins. Ces mêmes cours sont donnés aux adultes, depuis 2006, au Centre Saint-Louis du quartier Loretteville. «Il est question surtout de l’estime de soi et de la communication. Nous travaillons aussi sur l’aspect social de la personne. Comment doit-elle se comporter pour un retour au travail?»

Impliquée en santé mentale depuis 40 ans, Judith Bruneau constate que les problèmes de drogue et de toxicomanie prennent de plus en plus d’ampleur. «On reçoit maintenant des cas en santé mentale qui sont associés à des problèmes d’alcool, de médication et de drogue. Avant, on traitait des dépressions chroniques avec une façon de faire, mais maintenant, il faut être beaucoup plus large que ça.»

Clientèle

En 2017-2018, l’organisme a reçu 550 appels pour des demandes d’information. Au total, 176 personnes ont été évaluées, 53 y ont été accueillies (45% de femmes) et 81 ont suivi les ateliers externes. L’âge moyen des usagers est de 46 ans. Quant à leur provenance, la majorité provient de la grande région de Québec, mais de plus en plus de demandes ont comme point d'origine la Rive-Sud de Québec et Portneuf.

L’Amarrage compte aujourd’hui 28 employés, dont 19 intervenants multidisciplinaires. Il dispose de sept chambres individuelles et d‘une autre pour deux personnes avec des admissions en continu. On y assure un accompagnement 24 heures sur 24 et sept jours par semaine. «L’adaptation est difficile pour certaines personnes qui n’ont jamais partagé un repas autour d’une table composée de neuf autres individus, des espaces et un téléviseur commun», rappelle Mme Bruneau.

La directrice générale rappelle que l’important apport des donateurs permet à l’Amarrage d’assurer une partie du financement de l’organisme.

Témoignage

Constatant la misère qui sévissait en basse-ville en 1976, Marc Rioux et Maurice Thériault ont pris l’initiative d’aider celles et ceux qui avaient besoin d’aide localement. «On parlait beaucoup d’aider les gens du Tiers-Monde, mais il y avait ici des gens qui étaient pauvres et dans la misère. Certains avaient été trahis et étaient passés à côté de la richesse.» M. Thériault se souvient du regard hautain et méprisant que certains résidents du quartier avaient face à ces personnes délaissées par la société.

Voulant venir en aide à cette clientèle démunie et parfois oubliée, ils ont loué un appartement en basse-ville avec quelques chambres. «Marc et moi étions là pour recevoir ces gens qui avaient besoin d’aide.» Cette écoute s’est vite fait connaître dans le milieu et de plus en plus de personnes venaient se confier à eux. «Il y avait beaucoup d’organismes qui s’entraidaient pour aider ces pauvres gens dans le besoin. C’était aussi le début d’une aide plus directe en offrant des produits d’épicerie à prix modiques.»


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Services de garde scolaires: un besoin critique de personnel

Le métier d’éducateur en service de garde en milieu scolaire est relativement peu connu. On parle davantage des services de garde à la petite enfance que de ces professionnels qui s’occupent et animent les enfants de niveau primaire avant, entre et après leurs cours. La très grande majorité des élèves du primaire vont au service de garde: on parle de 86% des élèves qui le fréquentent de façon régulière à la Commission scolaire des Découvreurs, 82% pour la Commission scolaire des Premières-Seigneuries et 81% pour la Commission scolaire de la Capitale de façon régulière ou sporadique.

En tout, 22 postes sont à combler à la Commission scolaire des Découvreurs, 32 postes à la Commission scolaire des Premières-Seigneuries et 15 à la Commission scolaire de la Capitale.

«Le secteur d’emploi n’est pas facile à cause des horaires discontinus, surtout si la personne n’habite pas près de l’école», mentionne Alain Vezina, responsable des communications pour la Commission scolaire des Découvreurs. M. Vezina fait savoir que la banque de remplacement est souvent utilisée à son maximum et qu’il y a un gros roulement de personnel.

À la Commission scolaire des Premières-Seigneuries, on attribue également la pénurie de main d’œuvre au plein emploi dans la région et au fait que la Commission scolaire est en pleine expansion. «On a eu 2000 élèves supplémentaires depuis quatre ans», fait valoir Isabelle Bédard-Brûlé, responsable des communications.

«Les horaires à temps partiel sont difficiles à combler. Les écoles où on manque le plus de personnel sont celles dans le nord de notre territoire, à Saint-Gabriel et Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier. Probablement parce que les écoles sont plus excentrées», indique quant à elle Marie-Élaine Dion, responsable des communications pour la Commission scolaire de la Capitale.

Rétention de personnel

Les Commissions scolaires de la région essaient d’aménager le plus possible les horaires de travail pour les employés du service de garde. «On essaie de garder des horaires continus, on envisage différentes solutions comme faire de l’animation à la bibliothèque de l’école pour étendre l’horaire», souligne M. Vezina. Même effort du côté de la Commission scolaire des Premières-Seigneuries.

Critères de recrutement assouplis

À la Commission scolaire des Premières-Seigneuries, l’attestation d’études professionnelles en service de garde est nécessaire. Toutefois, les besoins sont si grands que l’employeur accepte les personnes en formation tant qu’elles s’engagent à terminer le programme. Du côté de la Commission scolaire des Découvreurs, un minimum d’expérience en lien avec l’emploi est exigé. «Mais on prend des étudiants qui sont à l’université en rapport avec le domaine. Ça varie beaucoup d’une personne à l’autre pour les critères», insiste M. Vezina. À la Commission scolaire de la Capitale, on demande une Attestation d’études professionnelles en service de garde ou au moins la scolarité du secondaire terminée combinée avec un an d’expérience.


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Hommage aux donneurs d'organes au CHU de Québec

Celle-ci rend hommage aux centaines de donneurs d’organes et de tissus que ses équipes ont prélevés au fil des ans. Constituée de l’empreinte des mains de certains de ces donneurs, l'œuvre sera installée à l’entrée principale de l’Hôpital de l’Enfant-Jésus.

Le dévoilement aura été l’occasion non seulement de saluer le geste de grande générosité des donneurs, mais également le courage des familles, elles aussi impliquées dans ce processus.

Selon Danielle Goulet, directrice clientèle soins intensifs, traumatologie et neurosciences au CHU, il est important de reconnaître à quel point le don d’organe peut faire une différence et sauver des vies.

«Nous le voyons chaque jour et savons aussi que derrière toutes ces vies sauvées, il y a un donneur qui lui, malheureusement, nous quitte. Puis, souligne-t-elle, il y a sa famille et ses proches, qui traversent une période éprouvante et qui contribuent aussi à faire cette différence. Il est donc important pour nous de dire merci et de rendre hommage à nos donneurs.»

Pour de plus amples informations sur le don d’organes et de tissus au CHU: cliquez ici.

Métro Média


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Ça se presse pour acheter du cannabis

8 conseils pour limiter les risques sur les médias sociaux

Étant donné l’incroyable quantité d’informations stockées et partagées en ligne, les risques sur les médias sociaux sont plus présents que jamais.

Il est indéniable que les réseaux sociaux ont rendu le monde plus connecté. Dans la plupart des cas, cela peut d’ailleurs être considéré comme une avancée majeure. Mais toutes ces nouvelles connexions facilitent également l’accès aux informations des entreprises et des particuliers. Lorsque les pirates informatiques et les escrocs s’en mêlent, ces informations peuvent vite devenir un problème.

Toutefois, vous ne pouvez plus renoncer aux médias sociaux, ni continuer à penser qu’ils sont inviolables. Il est donc temps de prendre les mesures nécessaires pour protéger votre entreprise contre les menaces les plus courantes sur les réseaux sociaux. Voici par quoi vous pourriez commencer:

Risques sécuritaires les plus courants sur les médias sociaux

Les comptes laissés sans surveillance

Vous pouvez parfaitement utiliser le nom de votre marque sur l’ensemble des médias sociaux, même si vous ne comptez pas tous les utiliser. Cela vous permettra de maintenir une présence constante sur ces réseaux, et les consommateurs pourront alors vous trouver plus facilement.

Mais il est également important de ne pas négliger les comptes que vous n’utilisez pas encore, ou dont vous ne vous servez pas souvent, voire plus du tout. Les comptes sociaux inactifs sont une cible de choix pour les pirates informatiques, qui pourraient en profiter pour publier des messages frauduleux en votre nom.

Comme ils savent que le compte n’est pas surveillé, ils pourraient, une fois en avoir pris le contrôle, nuire à votre entreprise en envoyant de fausses informations ou causer des problèmes à vos abonnés en publiant des liens infectés par des virus. Et vous ne le remarquerez même pas jusqu’à ce que vos clients viennent demander votre aide.

L’erreur humaine

Chacun fait des erreurs. Dans notre monde où tout va à vive allure, un employé peut facilement et sans le vouloir exposer son entreprise aux menaces en ligne. En effet, 77% des personnes interrogées par le 21e EY Global Information Security Survey ont répondu que la cause la plus probable de brèche en matière de cybersécurité est en général un membre du personnel.

Après tout, il suffit de cliquer sur le mauvais lien ou de télécharger le mauvais fichier pour faire de gros dégâts.

Les applications tierces

Même si vous sécurisez vos comptes, les pirates peuvent toujours y accéder par le biais de vulnérabilités dans les applications tierces qui viennent s’intégrer aux réseaux sociaux.

Par exemple, les pirates ont eu accès aux comptes Twitter de Forbes et Amnesty International en utilisant une faille dans Twitter Counter, une application utilisée pour analyser Twitter.

Le phishing et autres arnaques

Les arnaques par phishing se servent des médias sociaux pour inciter les utilisateurs à communiquer leurs informations personnelles (coordonnées bancaires, mots de passe, ou encore renseignements commerciaux).

Par exemple, il y a peu, la marque de bijoux LÕU.YETU a été victime de phishing sur Facebook. Victime d’usurpation, un escroc a utilisé le nom de la marque et d’autres alternatives pour créer des pages de jeux concours. Les participants devaient alors payer pour participer au concours et donc donner leurs coordonnées bancaires et autres informations.

L’entreprise a immédiatement réagi sur sa page Facebook officielle :

L’usurpation de comptes

Le nombre de comptes d’assistance frauduleux sur les réseaux sociaux a doublé depuis 2017. Ces comptes peuvent cibler vos clients et les inciter à communiquer leurs informations confidentielles, ruinant au passage votre réputation.

L’usurpation de comptes permet également aux imposteurs d’escroquer vos employés en leur demandant de remettre leurs identifiants de connexion à votre système informatique.

Les programmes malveillants et le piratage

Les pirates sont de plus en plus rusés sur les médias sociaux. Ils sont déjà parvenus à pirater les comptes Twitter de Kylie Jenner, Mark Zuckerberg, et de plusieurs grands groupes, comme ici le groupe Lactalis (ce dimanche 14 octobre).

Ces piratages restent inoffensifs mais d’autres n’ont pas eu autant de chance.

Par exemple, des pirates ont utilisé un faux profil pour communiquer avec les employés des entreprises qu’ils avaient ciblées et leur envoyer un fichier qui leur a permis d’accéder à distance aux ordinateurs des victimes.

Les paramètres de confidentialité

Les internautes semblent bien connaître les risques liés à l’utilisation des médias sociaux. Un récent sondage a révélé que près de deux tiers des personnes interrogées ont « très peu » ou « pas » confiance dans les réseaux sociaux en ce qui concerne la protection de leurs informations personnelles.

Mais cela ne nous empêche pas d’utiliser nos médias sociaux préférés.

Toutefois, pour les marques, les risques sont plus élevés car de nombreuses personnes utilisent les médias sociaux au bureau, que ce soit pour le travail ou à usage personnel.

Les téléphones mobiles non sécurisés

La plupart des utilisateurs se servent de leur smartphone pour surfer sur les réseaux sociaux. Après tout, il suffit d’appuyer sur une application pour accéder à votre compte.

Cela ne pose aucun problème tant que votre téléphone reste en votre possession. Mais en cas de vol ou de perte, une personne mal intentionnée peut alors sans aucune difficulté accéder à vos comptes. Elle n’aura ensuite aucun mal à escroquer vos contacts grâce au phishing ou à des logiciels malveillants.

La meilleure solution serait de protéger l’appareil avec un mot de passe, mais plus de la moitié des propriétaires de smartphone ne verrouillent pas leur téléphone.

Bonus: Notre guide en 8 étapes pour développer votre présence sur les réseaux sociaux vous aidera à élaborer une stratégie social media des + efficaces !

8 conseils et bonnes pratiques pour renforcer la sécurité de vos comptes

1# Créez une politique relative à l’utilisation des médias sociaux

Si votre entreprise utilise quotidiennement les médias sociaux, ou est sur le point de se lancer dans l’aventure, vous avez besoin de mettre en place une politique relative à leur utilisation.

Vous trouverez ci-dessous des recommandations qui pourront aider vos employés à utiliser les médias sociaux de façon plus responsable. Vous pourrez ainsi protéger votre entreprise contre les menaces, mais aussi éviter la mauvaise publicité et les ennuis juridiques.

Au minimum, votre politique relative aux médias sociaux devrait inclure :

  • Des directives en matière d’image de marque qui expliqueront comment parler de votre entreprise sur les réseaux sociaux .
  • Des règles liées à la confidentialité et l’utilisation des médias sociaux à titre personnel .
  • Les départements ou les employés responsables des différents comptes .
  • Des directives liées au copyright et à la confidentialité .
  • Des indications sur les mots de passe les plus efficaces et à quelle fréquence les modifier .
  • Vos attentes en ce qui concerne la mise à jour des logiciels et appareils .
  • Comment identifier et éviter les arnaques, les attaques et toute autre menace liée à la sécurité ?
  • Qui prévenir et comment réagir si la sécurité d’un compte est compromise ?

2# Enseignez à vos employés les meilleures pratiques à adopter en matière de sécurité

Une excellente politique relative aux médias sociaux ne suffira pas à protéger votre organisation si vos employés ne la respectent pas. Elle doit bien sûr être facile à comprendre, mais seule une formation permettra aux employés d’interagir, de poser des questions et de comprendre pourquoi elle est si importante.

Ces sessions de formation sont également l’occasion d’étudier les dernières menaces présentes sur les réseaux sociaux et d’examiner votre politique pour savoir si elle doit être modifiée.

Ne vous inquiétez pas, vous pouvez également y aborder des points plus positifs. Grâce aux formations aux réseaux sociaux, votre équipe apprendra aussi à utiliser efficacement les outils mis à leur disposition. Une fois que vos employés auront appris les bonnes pratiques à adopter, ils se sentiront plus confiants lorsqu’ils utiliseront les réseaux sociaux, que ce soit à des fins personnelles ou professionnelles.

3# Limitez l’accès aux réseaux sociaux

Si vous préférez vous concentrer sur les menaces extérieures à votre entreprise, sachez que PWC a découvert que ce sont les employés qui sont le plus souvent à l’origine des incidents de cybersécurité, et non pas les pirates informatiques. La meilleure solution pour protéger vos comptes serait donc d’en limiter l’accès.

Vous avez peut-être assigné différentes équipes à la gestion du service de messagerie, à la création de publications et au service clientèle sur les réseaux sociaux. Toutefois, vos employés ne publient pas tous du contenu. Par conséquent, vous n’êtes pas obligé de donner les mots de passe de vos comptes à chacun d’entre eux.

La première mesure à prendre est de limiter le nombre d’utilisateurs qui peuvent publier du contenu sur vos comptes. Choisissez alors soigneusement ceux qui seront en charge de la publication.

Une fois que vous avez pris votre décision, utilisez un logiciel comme Hootsuite pour affecter les bonnes personnes aux bons comptes. De cette façon, ils n’auront pas besoin de connaître les informations de connexion de vos comptes. Si un employé décide de quitter votre entreprise, vous pouvez simplement désactiver son compte sans avoir à changer tous les mots de passe.

4# Élaborez un système d’approbation pour les publications

Le ministère de la Culture a été confronté à une crise majeure lorsque le fils de la Community Manager a pris les reines du compte officiel du ministère pour y faire passer des messages Twitter de très mauvais goût. Aucun employé du ministère de la Culture n’a vu les tweets avant leurs publications. Quand les tweets ont été découverts, ils ont immédiatement été supprimés. S’ils avaient mis en place un système d’approbation, quelqu’un aurait pu vérifier les tweets avant leurs publications et la crise aurait pu être évitée.

Vous pouvez utiliser Hootsuite pour donner à vos employés ou à vos sous-traitants la possibilité de créer des brouillons et de les préparer pour qu’ils puissent être publiés en seulement un clic. Mais il vaut mieux confier cette dernière étape à une personne de confiance au sein de votre équipe.

5# Nommez un responsable

En désignant une personne qui se chargera de garder un œil sur les réseaux sociaux, vous arriverez plus facilement à limiter les risques. Elle devra connaître parfaitement votre politique relative aux médias sociaux, surveiller la présence de votre marque sur ces plateformes, et décider qui peut publier du contenu. Cette personne jouera également un rôle fondamental dans l’élaboration de votre stratégie de marketing concernant les médias sociaux.

L’idéal serait probablement un membre haut placé de votre équipe marketing. Mais il devra communiquer fréquemment avec le service informatique de votre entreprise afin que les deux départements puissent travailler ensemble pour limiter les risques.

Enfin, il sera la personne vers qui les membres de l’équipe devront se tourner en cas d’erreur qui pourrait exposer l’entreprise à toute sorte de risques, qu’ils soient liés à la sécurité ou à votre réputation. Votre entreprise pourra alors réagir plus efficacement face aux menaces.

6# Surveillez vos comptes et pratiquez le social listening

Comme mentionné au début de cet article, les comptes laissés sans surveillance sont des cibles idéales pour les pirates informatiques. Il vaut donc mieux garder un œil sur tous vos médias sociaux, que vous les utilisiez ou non. Nommez une personne qui se chargera de vérifier que tout le contenu sur vos comptes a bien été publié par vos employés. Vous pouvez commencer par comparer vos publications à celles indiquées dans votre calendrier de contenu.

Surveillez tout ce qui vous paraît suspect. Même si une publication semble authentique, il vaut mieux effectuer quelques recherches supplémentaires si elle ne correspond pas au contenu que vous aviez prévu. Il peut simplement s’agir d’une erreur humaine. Mais il se pourrait également que quelqu’un ait eu accès à vos comptes et observe votre réaction avant de publier du contenu plus dangereux.

Vous devez aussi vous assurer que personne n’ait usurpé vos comptes, veiller à ce que vos employés (ou toute autre personne associée à votre entreprise) ne mentionnent pas votre marque de façon inappropriée, et vérifier qu’il n’y ait pas de propos négatifs au sujet de votre marque.

Pour en savoir plus sur le social listening : Social listening: les 13 erreurs à ne pas commettre

7# Investissez dans des solutions de sécurité

Même si vous gardez un œil sur vos canaux sociaux, vous ne pouvez pas les surveiller 24 heures sur 24, mais pour un logiciel c’est tout à fait possible. Des solutions comme ZeroFOX par exemple vous avertiront automatiquement en cas de menace.

Lorsque vous intégrez ZeroFOX à votre tableau de bord Hootsuite, vous serez averti lorsque du contenu dangereux, menaçant ou offensant cible votre marque ; des liens malveillants sont publiés sur vos comptes ; votre entreprise et vos clients sont victimes d’arnaques ; des comptes frauduleux se font passer pour vous. Il permet également de protéger votre entreprise contre le piratage et le phishing.

8# Effectuez régulièrement des audits

Les menaces sur les médias sociaux évoluent constamment. Les pirates informatiques trouvent toujours de nouvelles tactiques, et des virus et arnaques encore jamais vus peuvent apparaître à tout moment. Mais en programmant régulièrement des audits de vos mesures de sécurité, vous pourrez garder une longueur d’avance.

Au moins une fois par trimestre, n’oubliez pas de vérifier :

  • Les paramètres de confidentialité des réseaux sociaux. Ces paramètres sont fréquemment mis à jour, ce qui peut avoir une incidence sur votre compte. Par exemple, un réseau social peut les modifier pour vous permettre de mieux contrôler la façon dont vos données sont utilisées.
  • Les autorisations d’accès et de publication. Effectuez un scan des personnes qui ont accès à votre plateforme de gestion des médias sociaux et à vos comptes et qui ont le droit d’y publier du contenu. N’hésitez pas à modifier cette liste en fonction de vos besoins. Veillez également à révoquer l’accès de tous les anciens employés et pensez à vérifier quelles personnes ont changé de poste et n’ont donc plus besoin des mêmes autorisations.
  • Les dernières menaces en matière de sécurité. Communiquez régulièrement avec le service informatique de votre entreprise afin qu’il puisse vous tenir informé des derniers risques apparus sur les médias sociaux. Et gardez aussi un œil sur les actualités : les gros piratages informatiques et les nouvelles menaces seront sûrement mentionnés dans les médias.
  • Votre politique relative aux médias sociaux. Cette politique doit évoluer au fur et à mesure que de nouveaux réseaux gagnent en popularité, que les pratiques en matière de sécurité changent, et que de nouvelles menaces apparaissent. En examinant ce document chaque trimestre, il pourra rester pertinent et continuer à vous aider à sécuriser vos comptes.

 

Pour compléter votre stratégie social media et renforcer votre sécurité:

 

Utilisez Hootsuite pour gérer l’ensemble de vos réseaux sociaux en toute sécurité depuis une même plateforme. Limitez les risques tout en bénéficiant des meilleures fonctionnalités, applications et intégrations.

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Tuesday, 16 October 2018

Les deux succursales de la SQDC prêtes à temps

La guérison des victimes est possible

 

«Tout a commencé au primaire et cela s’est poursuivi au secondaire et même un peu au cégep soit de 1995 jusqu’en 2003. Au primaire, j’étais une enfant comme tous les autres. J’étais toujours choisie la dernière quand il y avait deux chefs d’équipe. J’étais souvent mise de côté et je ne savais jamais pourquoi.» Ce sentiment de rejet, Sarah a dû composer avec au moment de la transition entre l’enfance et l’adolescente qui marque un pas important dans la vie.

Sarah se souvient qu’au moment de la prise de la photo officielle à l’école, en début d’année, qu’elle était toujours la petite fille bien assise au milieu en avant. «J’avais souvent la plus belle robe et mes parents étaient très loin d’être riches. En 1997, son père a mis sur pied un organisme communautaire qui avait une très grande visibilité régionale ce qui m’a amené à être sous les projecteurs. «Je recevais beaucoup de félicitations d’adultes par mon implication et encore une fois, je crois qu’il y avait la jalousie.»

Elle raconte que sa première journée à l’école secondaire, regroupant 400 élèves, l’a marquée. «Je suis allée saluer des amis assis sur un banc et on m’a clairement dit qu’on ne voulait pas de moi avec eux. Mes parents sont allés parler aux parents de ceux qui m’intimidaient. Cela n’a vraiment pas été une bonne idée. Ce que je subissais à l’école s’est déplacé dans l’autobus et ailleurs.»

S’en libérer est possible

Dans la trentaine aujourd’hui, Sarah a complété ses études universitaires et elle est parvenue à extirper ces éléments qui l’ont marqué. «Je pense que j’ai toujours eu confiance en moi. Le conseil que je veux donner aux adolescents qui subissent de l'intimidation c’est de se mettre en action. De trouver des champs d’intérêt ou des passions et les vivre. Surtout, il faut en parler à des gens de confiance et ne pas s’isoler.»

Avec ses étincelles dans les yeux, indiquant qu’elle mord aujourd’hui plus que jamais dans la vie, Sarah avoue qu’il n’est pas facile de s’en sortir complètement. «Au cégep, il m’est arrivé de m’auto rejeter d’un groupe par peur d’une perception faussée.

Un concours de circonstances a fait en sorte qu’elle a croisé l’un de ceux qui l’avaient intimidée à l’adolescence. «Celui qui parlait plus fort que les autres à l’école est devenu un ami. Un soir, l’alcool aidant, on s’est parlé et il m’a dit qu’il ne se souvenait pas de m’avoir intimidée.» Son but, se souvient-elle, était de faire rire les autres. «Il ne faisait que répéter ce qu’un autre élève lui soufflait à l’oreille. Je ne pouvais pas contrôler la façon dont je me sentais par rapport aux mots et aux gestes dont j’étais victime.»

:*Prénom fictif pour protéger l’anonymat.

Un phénomène qui n’a rien de marginal

Un portrait de la violence regroupant 125 écoles primaires et 79 écoles secondaires du Québec, réalisé par Claire Beaumont et Éric Frenette de l’Université Laval, et Danielle Leclerc de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), a été publié en avril 2014. Il démontrait que la proportion d’élèves victimes de harcèlement à l’école était similaire au primaire et au secondaire et variait selon la nature de l’agression.

Pour la région de Québec, INTERaXions agit auprès des adolescents victimes d’intimidation, de leurs parents et du milieu scolaire. Établi depuis 2014, il a comme objectif d’informer, de sensibiliser, d’outiller et d’accompagner chaque victime.

Selon la directrice générale Suzy Patton, l’intimidation est présente dans le milieu scolaire. «On l’identifie par quatre critères: l’intention de blesser ou de faire du tort, la répétition des gestes, l’inégalité des rapports de force et est-ce que cela blesse la victime?» La directrice générale mentionne que l'organisme offre un lieu à l’extérieur du milieu scolaire.

Suzy Patton insiste, les jeunes qui sont témoins d’intimidation deviennent des facteurs de changements. «Selon des statistiques, lorsqu’un jeune se positionne contre l’intimidation, le comportement de l’agresseur va généralement cesser dans les 10 secondes qui suivent.» Elle soutient qu'une personne sur trois subit de l’intimidation dans son parcours de vie.

La responsabilité de l'école

La loi 56, en vigueur depuis le 15 juin 2012, prévoit l’obligation, tant pour les établissements d’enseignement publics que privés, de mettre en oeuvre un plan de lutte contre l’intimidation et la violence. Il vise à prévenir et à contrer toute forme d’intimidation et de violence à l’endroit d’un élève, d’un enseignant et de tout autre membre du personnel de l’école. D’ailleurs, le conseil d’établissement a l'obligation d’approuver le plan de lutte contre l’intimidation et la violence et son actualisation est proposée par le directeur de l’école.

Parmi les éléments inscrits dans la Loi 56, on prévoit, entre autres, des mesures visant à assurer la confidentialité de tout signalement et de toute plainte concernant un acte d’intimidation ou de violence. S’ajoutent des mesures de soutien ou d’encadrement offertes à un élève victime d’un acte d’intimidation ou de violence ainsi que celles offertes à un témoin ou à l’auteur d’un tel acte. Les sanctions disciplinaires sont applicables spécifiquement au regard des actes d’intimidation ou de violence selon la gravité ou le caractère répétitif.

Il est bon de noter que l’établissement scolaire a l’obligation de transmettre au ministre, au plus tard le 31 décembre de chaque année, un rapport annuel qui fait mention de la nature des plaintes qui ont été portées à sa connaissance et des interventions qui ont été faites.

www.interaxions.org

L'intimidation au primaire en chiffres

20.6% : Élèves insultés ou traités de noms quelques fois par mois

23.8% : Élèves qui ont été frappés une ou deux fois dans une année

5.6% : Élèves agressés et blessés gravement une ou deux fois par année

(Source: Beaumont, Leclerc et Frenette, 2014)


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Monday, 15 October 2018

Automatistes et Refus global

Pour le souligner, la Galerie Michel Guimont présente, du 23 septembre au 23 octobre, une trentaine d’œuvres de sept artistes majeurs de l’histoire de l’art du Québec et signataires du fameux manifeste: Marcel Barbeau, Marcelle Ferron, Pierre Gauvreau, Fernand Leduc, Jean-Paul Mousseau, Jean-Paul Riopelle et Françoise Sullivan, regroupées sous le titre Les Automatistes en trois temps. Le 9 août 1948, Paul-Émile Borduas et quinze cosignataires, dont les artistes associés au mouvement automatiste et des intellectuels, lancent à la Librairie Tranquille le manifeste Refus global, édité à 400 exemplaires. Cette exposition souligne l’évolution des démarches et modes d’expression dans l’œuvre de ces artistes qui au départ partageaient des théories similaires. Une trentaine d’œuvres réalisées durant trois périodes distinctes de leur carrière sont exposées: entre 1946 et 1954, entre 1955 et 1980, puis de 1980 à 2015. L'exposition est présentée du mardi au samedi de 11h à 17h, et le dimanche de 12h à 17h au 273, Saint-Paul. 


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Capitale-Nationale – Sept médailles pour le jour 1 des compétitions

MÉDAILLES. Le karaté a retenu particulièrement l’attention de la délégation de la Capitale-Nationale, hier, puisque des athlètes de cette di...